La gestion obligataire : l’expertise historique du groupe CORUM
Le jeudi 2 décembre 2021, CORUM L’Épargne vous proposait un webinaire inédit, animé par Bogdan Kowal (Directeur de la Rédaction de Club Patrimoine), afin d'aborder les particularités de la gestion obligataire du groupe CORUM avec Frédéric Puzin (Fondateur de CORUM L’Épargne), son métier historique.
Retranscription de la vidéo :
Bogdan Kowal : Alors Frédéric, votre gamme obligataire, elle est historique. C’est ce que vous avez fait en premier chez CORUM L’Épargne ?
Frédéric Puzin : En effet, peu de gens le savent, mais notre métier premier depuis 15 ans, c’est l’obligataire. C’est une gestion qui a commencé en 2008 et qui est complètement indépendante. C’est-à-dire que tout est fait avec nos gérants, c’est notre ADN. C’est de là que tout a commencé avec à la fois une approche anticyclique et, aussi, une approche raisonnable, c'est-à-dire qu'on a toujours su mettre une taille à nos fonds qui nous permettait d'éviter de nous exposer.
Pour le dire simplement, on a toujours évité de se mettre dans des situations devant lesquelles l'argent nous brûlait les doigts pour investir. On a toujours cherché à ne pas être contraints d'investir. C'est vraiment notre ADN. D'ailleurs la stratégie immobilière qu'on a développée derrière, elle est partie de cette stratégie obligataire extrêmement raisonnée.
Bogdan Kowal : Justement, c'est ça qui est intéressant parce que moi, j’ai découvert CORUM L’Epargne via les SCPI, et plutôt de manière positive parce que tout le monde citait les vôtres. J'ai découvert récemment que vous aviez une gamme obligataire, une gamme qui avait plutôt bien marché en 2020. C’est étonnant, pourquoi vous n’en avez jamais parlé plus tôt ?
Frédéric Puzin : Pour la simple et bonne raison que notre premier métier, c'est l'obligataire et l'obligataire vendu à des grands institutionnels. Pour la petite histoire, on n'était pas du tout connu sur le marché français puisqu'au départ ces fonds été proposés à des investisseurs étrangers, notamment allemands, suisses ou américains. On était sur une stratégie de gestion qui était un peu confidentielle en France, quasiment pas connue. On a grandi comme ça.
Bogdan Kowal : Ce n’est plus le cas aujourd’hui puisque vous vous ouvrez au « retail » ?
Frédéric Puzin : Oui, pourquoi ? Parce qu’a on a émergé sur le marché retail. On nous connaît aujourd'hui pour nos SCPI, mais cette pratique immobilière elle est juste l’héritage, en termes de stratégie, de cette gestion obligataire. Maintenant qu'on est connu du grand public et du marché retail, on offre également cette gestion très pointue.
On a aussi voulu être prudent, parce que ce sont des marchés qui sont peu connus et on a aujourd'hui un « track-record » (historique de performance) qui nous permet de nous présenter au marché avec une vraie histoire, une vraie stratégie qui a rencontré du succès.
Bogdan Kowal : Justement, en préparant cette émission, vous m’avez dit « j'ai des supers gérants, ils sont là depuis longtemps ». On ne les a jamais vus, vous pouvez nous les présenter ?
Frédéric Puzin : Bien sûr. L’équipe est composée de Laurent, Olivier, Cyril et Cédric. Ils travaillent ensemble depuis 15 ans et gèrent près de 800 millions d'euros avec, chacun, une spécialité.
C'est vraiment le point commun avec l'immobilier, ce qui nous intéresse avant tout, c'est les fondamentaux : on prête à des entreprises (sur le marché obligataire primaire), on confit des immeubles à des locataires. Ce qui nous importe d'abord, c'est que les dettes soient remboursées, que les intérêts soient payés dans l'obligataire et dans les immeubles, que les loyers soient payés.
C'est vraiment une expertise propre au groupe, c’est les fondamentaux. C'est « qui » paie, « qui » crée la valeur réelle. Ensuite, il y a une autre expertise qui est absolument nécessaire, c'est la connaissance des marchés qui fait que vous allez d'abord pouvoir acheter un actif dans de bonnes conditions et, ensuite, le revendre dans de bonnes conditions.
Bogdan Kowal : Comment on fait pour les garder depuis quinze ans s’ils sont super bons ?
Parce qu'en plus, ils ne sont pas mauvais les gars !
Frédéric Puzin : Comment est-ce qu’on a fait pour les garder ? C'est la même chose que pour l'ensemble de nos équipes, c'est un projet commun, on a un ADN. Quoi de plus confortable pour un gérant de savoir qu'il n’est pas contraint d'investir dans de mauvaises conditions ? De se dire demain matin, « comment est-ce que je fais faire pour bien investir cet argent ? ». Dans le monde d'aujourd'hui, pour des gérants c'est un confort incroyable.
Vous nous connaissez sur le marché de la SCPI, vous savez qu’à certains moments, on réduit voire ferme la collecte. Certaines de nos SCPI sont très connues pour ça. On a fait la même chose dans l’obligataire à une certaine époque et pour un gérant, c'est des conditions de travail et d'investissement, je ne vais pas dire uniques, mais qui permettent de travailler dans de très bonnes conditions.
Les fonds obligataires distribués par CORUM L’Épargne n’offrent aucune garantie de rendement ni de performance et présentent un risque de perte en capital. La valeur des placements et les rendements qu’ils génèrent peuvent évoluer à la hausse comme à la baisse. Les investissements constituant leur patrimoine sont soumis au risque de marché, de défaut et, potentiellement, de change. Les performances passées ne présagent pas des performances futures.
Cet article est une communication marketing. Nous vous recommandons de consulter les documents réglementaires des fonds en amont de toute décision d’investissement (document d’information clé pour l’investisseur, prospectus, rapport annuel) dans lesquels sont décrits les risques liés à l’investissement et disponibles sur le site www.corumbutler.com.