Les produits commercialisés par CORUM L'Épargne sont des investissements long terme qui n’offrent aucune garantie de rendement ou de performance et présentent un risque de perte en capital et de liquidité. Les revenus ne sont pas garantis et dépendent de l’évolution du marché immobilier et financier et du cours des devises. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.

 

 

FRAIS DE SOUSCRIPTION

Les frais de souscription de parts d’une société civile de placement immobilier (SCPI) représentent, avec les autres charges, la rémunération de l’entreprise de gestion pour l’utilisation du produit financier. Compris dans le prix d’acquisition des titres, ils différent d’autres frais qui peuvent s’appliquer.

La composition des frais de souscription 

Lorsqu’un investisseur acquiert des parts de SCPI, des frais de souscription vont s’appliquer. Ils correspondent à la rémunération du service rendu pour la  recherche des biens en vue de consolider le patrimoine de la société de gestion. Les frais de souscription varient selon les sociétés et les différents instruments financiers proposés aux clients dans le cadre de leur investissement.

Investir en SCPI : les parts et leur gestion

En dehors des frais de souscription qui sont à régler au moment de l’acquisition des parts, la gestion du patrimoine a également une contrepartie financière, qui va varier d’une SCPI à l’autre. Ce montant, qui rémunère la société en charge de ce patrimoine, est prélevé sur les revenus des sociétaires, à la différence de d’autres types de placements financiers comme les SICAV. Pour ces derniers, le prélèvement est fait sur la totalité des encours.

Frais de souscription à ne pas confondre avec droits d’enregistrement

Selon le type de produit d’investissement, il peut exister une autre catégorie de charges pour l’achat de titres. Ce sont les droits d’enregistrement, qui représentent la partie fiscale liée à l’achat. Ces frais, qui sont payés par l’acquéreur au moment de la souscription, sont perçus par le Trésor Public. Ils ne s’appliquent que pour l’achat de titres de sociétés civiles de placement immobilier à capital fixe du marché secondaire (celui des valeurs financières qui ont déjà été créées).