Les produits commercialisés par CORUM L'Épargne sont des investissements long terme qui n’offrent aucune garantie de rendement ou de performance et présentent un risque de perte en capital et de liquidité. Les revenus ne sont pas garantis et dépendent de l’évolution du marché immobilier et financier et du cours des devises. Les performances passées ne préjugent pas des performances futures.
Placement long terme
On parle de placement pour faire référence au renoncement temporaire de l’utilisation des fonds, dans un but précis. Le principal intérêt d’investir dans un produit financier comme l’assurance vie, c’est le capital qui se constitue au fil des années. Les versements réalisés génèrent des intérêts (garantis ou non) qui augmentent le montant de l’épargne.
La temporalité d’un placement est variable. On parle également d’horizon d’épargne pour désigner la durée estimée de l’investissement. Parmi les différentes options, l’épargnant peut choisir un placement long terme.
Principe du placement long terme
Le placement long terme se définit comme une opération financière qui consiste à épargner sur un horizon d’au moins 8 à 10 ans. Il renonce donc à utiliser son argent pendant cette période minimale. Le capital initial ainsi que les versements réalisés au fil du temps peuvent être rémunérés par des intérêts. Cependant, ces derniers ne sont pas toujours garantis. Il est donc important de bien se renseigner sur le fonctionnement du produit d’épargne choisi. En effet, l’investissement dans une assurance-vie permet à l’épargnant de sélectionner un ou plusieurs supports : fonds immobiliers, valeurs mobilières, fonds en euros…
Placement long terme à capital garanti et à capital non garanti : quelles différences ?
Dans un placement long terme, le capital peut être garanti ou non garanti.
Dans le premier cas, les fonds sont intacts car ils sont sécurisés. Lorsqu’il atteint l’horizon de placement initialement choisi, le titulaire du contrat d’assurance vie récupère une somme au moins égale au capital épargné. Le taux d’intérêt est généralement déterminé à l’avance, ce qui permet à au souscripteur d’estimer le montant de son épargne avant le dénouement. Les investissements sur fonds en euros permettent par exemple de réaliser un placement long terme avec capital garanti.
Dans le second cas, l’épargnant investit dans des supports financiers tels que : les actions, les obligations, les parts de SCPI… On parle de capital non garanti dans le sens où le rendement de l’épargne est intrinsèque à celui du marché. Si les tendances sont positives, l’épargnant réalise des bénéfices et constate une augmentation de son capital. En cas de rendement négatif, le capital ne génère pas d’intérêt et peut même diminuer.
Placement long terme : quels sont ses avantages ?
En assurance-vie comme dans le domaine financier dans sa globalité, les investissements à long terme offrent un potentiel de rémunération plus élevé. Que les intérêts soient simples (calculés en fonction du capital initial) ou composés (calculés en tenant compte des intérêts capitalisés), ils permettent de faire fructifier les fonds et donc de récupérer un capital assez conséquent au dénouement (sortie) du contrat.
Lorsque le capital est injecté dans des supports volatils (soumis aux fluctuations), les chances de gains demeurent intéressantes. En effet, il n’est pas rare que le rendement d’un produit d’épargne reparte à la hausse après quelques années de baisse de performances. A l’inverse, un placement court ou moyen terme risque d’être dévalorisé si la sortie a lieu dans une période marquée par des chutes de performance.
De manière générale, le placement long terme est réalisé par les épargnants qui souhaitent financer des projets relativement ambitieux : études de leurs enfants, achat immobilier, constitution d’un capital conséquent à transmettre aux héritiers…
Placement long terme : quels sont les risques ?
Un placement ne se résume pas à des avantages bien que ces derniers puissent être conséquents, selon le(s) support(s) d’investissement retenu(s). Dans le cas d’un horizon de placement d’au moins 8-10 ans, il faut comprendre que la perspective d’un rendement élevé a comme corollaire des risques plus importants dont voici quelques exemples.
Si l’épargnant investit dans des obligations (créances), il y a un risque de contrepartie. Autrement dit, une défaillance du créancier qui ne pourra pas tenir ses engagements de remboursement. Les pertes peuvent être partielles ou intégrales.
Si le souscripteur choisit d’investir dans des parts de SCPI, il se soumet à des risques de liquidité. En d’autres termes, il n’y a pas de garantie qu’il puisse revendre ses actifs au prix souhaité et dans les délais attendus.
C’est sans négliger les risques inhérents à la fluctuation du cours des devises, aux variations du taux d’intérêt, à la volatilité du produit d’investissement et autres risques relatifs au marché financier.
La prudence reste donc de mise et il reste plus judicieux d’investir auprès d’une plateforme fiable, en mesure d’offrir des conseils objectifs aux investisseurs.