OPCVM en assurance vie

Pour résumer :

Associer des OPCVM (Organismes de Placement Collectif en Valeurs Mobilières) à une assurance vie est une solution qui peut permettre de dynamiser son épargne tout en bénéficiant d’avantages fiscaux et patrimoniaux. Mais pour en tirer le meilleur parti, il est essentiel de comprendre les mécanismes, les avantages et les risques de ce type d’investissement :

  • Qu’est-ce qu’une assurance vie ? Un produit d’épargne qui permet d’investir à la fois sur des fonds euros sécurisés et des unités de compte, dont font partie les OPCVM.
  • Qu’est-ce qu’un OPCVM ? Des fonds collectifs (SICAV, FCP, ETF) qui permettent d’investir dans des actions, des obligations ou d’autres titres diversifiés.
  • Avantages fiscaux : Abattements sur les gains lors des rachats après 8 ans de détention de l’assurance vie, arbitrages non imposables et transmission patrimoniale optimisée.
  • Précautions nécessaires : Comprendre les risques des OPCVM avant d’investir (pertes en capital possibles et rendements non garantis), analyser les frais et choisir des supports adaptés à votre profil et vos objectifs d’investisseur.

L’assurance vie, souvent perçue comme un pilier de l’épargne, permet aux investisseurs de diversifier leurs placements tout en profitant d’une fiscalité spécifique. En y intégrant des OPCVM (Organismes de Placement Collectif en Valeurs Mobilières), ce produit d’épargne offre un accès à une gestion collective diversifiée, pouvant inclure des actions, des obligations et d’autres titres financiers, pour répondre aux besoins variés des épargnants. Cependant, l’alliance entre assurance vie et OPCVM exige une compréhension fine des risques associés, des frais inhérents et des stratégies d’investissement à long terme.

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Assurance vie et OPCVM : comprendre les fondamentaux

Qu’est-ce qu’une assurance vie ?

L’assurance vie est avant tout un produit d’épargne polyvalent, distinct de l’assurance décès qui relève quant à elle de la prévoyance. L’assurance vie permet aux épargnants de se constituer un capital ou de préparer la transmission de leur patrimoine.

Un contrat d’assurance vie repose sur deux grands supports d’investissement :

  • Le fonds en euros, qui garantit le capital investi, grâce à une gestion prudente, principalement axée sur des actifs obligataires et des titres peu volatils. Ce support offre une sécurité, mais ses rendements sont actuellement limités par les faibles taux d’intérêt.
  • Les unités de compte (UC), qui permettent d’investir dans des actifs variés tels que des OPCVM, de l’immobilier via les SCPI, des actions, des obligations des ETF, etc. Contrairement aux fonds euros, ces supports ne garantissent pas le capital, mais ils peuvent offrir un potentiel de rendement supérieur à moyen ou long terme.

Par ailleurs, un élément clé de l’assurance vie est sa clause bénéficiaire, qui permet de désigner les personnes qui recevront les capitaux en cas de décès. Cette souplesse fait donc aussi de l’assurance vie un outil efficace de transmission patrimoniale.

Qu’est-ce qu’un OPCVM ?

Les OPCVM sont des véhicules d’investissement collectif qui permettent d’accéder à une diversification professionnelle sur les marchés financiers. Gérés par des sociétés spécialisées, les OPCVM regroupent les capitaux de plusieurs investisseurs pour les placer dans des actifs variés, tels que des actions, des obligations, ou des titres immobiliers.

Deux grandes catégories d’OPCVM existent :

  • Les SICAV (Sociétés d’Investissement à Capital Variable), qui émettent des parts directement accessibles aux investisseurs.
  • Les FCP (Fonds Communs de Placement), qui fonctionnent comme des copropriétés de titres, gérées par des sociétés de gestion.

Les OPCVM se déclinent en plusieurs types selon leur stratégie d’investissement :

  • Actions : Investis majoritairement dans les marchés actions, ces OPCVM sont adaptés aux profils d’investisseurs dynamiques, c’est-à-dire prêts à accepter une volatilité élevée en échange d’un potentiel de rendement attractif.
  • Obligations : Ces OPCVM privilégient les titres obligataires émis par des entreprises ou des États. Ils offrent une meilleure stabilité, mais avec des rendements souvent plus modestes.
  • Mixtes : Ils combinent actions et obligations pour tenter d’équilibrer le risque et la performance.
  • Monétaires : Ces OPCVM investissent sur des produits à très court terme et à faible risque, avec des rendements limités.

 

Les avantages d’investir dans des OPCVM via une assurance vie

La fiscalité spécifique de l’assurance vie

L’assurance vie est un outil d’investissement reconnu pour sa fiscalité spécifique. En y intégrant des OPCVM, l’épargnant bénéficie donc d’une optimisation fiscale sur plusieurs aspects :

  • Une fiscalité avantageuse sur les rachats : Après 8 ans de détention du contrat d’assurance vie, les rachats partiels ou totaux bénéficient d’abattements annuels sur les gains (4 600 € pour une personne seule, 9 200 € pour un couple). Les OPCVM inclus dans l’assurance vie jouissent donc aussi de cette optimisation fiscale sur les retraits.
  • Une transmission patrimoniale optimisée : En cas de décès, le capital investi est transmis aux bénéficiaires désignés dans des conditions fiscales avantageuses. Des abattements spécifiques s’appliquent en fonction de l’âge du souscripteur au moment des versements.
  • La non-imposition des arbitrages internes : L’assurance vie permet de changer de supports d’investissement (arbitrages entre OPCVM, fonds euros, ou autres actifs) sans déclencher de fiscalité immédiate.

Le libre choix du mode de gestion

L’un des atouts majeurs d’un contrat d’assurance vie est la flexibilité qu’il offre en matière de gestion :

  • Gestion libre : L’investisseur choisit directement les OPCVM (actions, obligations, monétaires, etc.) qui composent son portefeuille.
  • Gestion profilée : En fonction de votre tolérance au risque et de vos objectifs (prudent, équilibré, dynamique), l’assureur vous propose une répartition automatique entre fonds euros et unités de compte (dont les OPCVM).
  • Gestion sous mandat : La gestion est déléguée à un gestionnaire professionnel, qui ajuste vos investissements en OPCVM en fonction d’une stratégie personnalisée définie avec vous.

Un complément aux fonds euros

L’un des objectifs principaux d’un investissement en OPCVM via une assurance vie est de maximiser le potentiel de rendement tout en diversifiant son portefeuille :

  • La combinaison fonds euros et OPCVM : Les fonds euros, axés sur des obligations et d’autres titres sécurisés, apportent une stabilité au contrat, tandis que les OPCVM introduisent un dynamisme qui permet de capter les performances des marchés financiers. L’objectif ? Équilibrer le risque et le potentiel de performance.
  • Une gestion équilibrée des risques et des rendements : Contrairement à un investissement direct en actions ou en obligations, les OPCVM diluent les risques en répartissant les capitaux sur plusieurs actifs, secteurs ou régions. Cela permet de mieux absorber les fluctuations des marchés financiers tout en ciblant un rendement optimal à long terme. Pour autant, rappelons que les rendements sur les unités de compte ne sont jamais garantis.

La diversification et l’accès à des marchés variés

L’un des grands avantages des OPCVM est leur capacité à offrir une diversification géographique, sectorielle et en types d’actifs:

  • Diversification sectorielle : Investir dans des OPCVM  via une assurance vie permet de répartir son capital entre différents secteurs, tels que la technologie, la santé, l’immobilier, l’énergie, etc.
  • Diversification géographique : Les OPCVM internationaux permettent d’accéder à des marchés financiers étrangers, ce qui offre parfois des opportunités que le marché français seul ne peut proposer.
  • Accès facilité à des produits complexes : Grâce aux OPCVM, les épargnants peuvent investir indirectement dans des actifs spécifiques, comme des actions d’entreprises, des obligations d’État, ou encore des SCPI, sans avoir à gérer directement ces placements.

 

Les risques à considérer avant d’investir

La volatilité des OPCVM

Investir dans des OPCVM via une assurance vie offre un potentiel de rendement attractif. Toutefois, cela vous expose aussi à des risques spécifiques, à commencer par la volatilité des marchés financiers.

Contrairement aux fonds euros, les unités de compte investies en OPCVM (qu’il s’agisse d’actions, d’obligations, d’ETF ou autres) ne garantissent pas le capital. La valeur des parts peut fluctuer en fonction des performances des marchés.

Les épargnants doivent néanmoins garder à l’esprit que les fluctuations à la baisse ne sont pas nécessairement une perte définitive : sur le long terme, une gestion rigoureuse peut permettre de lisser ces variations et d’optimiser les rendements (même si ces derniers ne sont jamais garantis).

Les frais associés

Investir dans des OPCVM via une assurance vie implique des frais qu’il est essentiel de comprendre, car ils peuvent affecter la rentabilité globale du placement :

  • Les frais de gestion des OPCVM : Ces frais sont prélevés par les sociétés de gestion et rémunèrent leur expertise. Ils varient selon le type d’OPCVM (actions, obligations, monétaires…) et peuvent être plus élevés pour des produits plus complexes, comme certains ETF ou fonds diversifiés.
  • Les frais d’arbitrage : Lorsque vous réalisez un arbitrage entre différents supports d’investissement (par exemple, pour passer d’un OPCVM axé sur les actions à un OPCVM obligataire), des frais peuvent être prélevés par l’assureur.
  • Les frais spécifiques au contrat d’assurance vie : Ils incluent généralement des frais sur versement, des frais de gestion annuels, et parfois des frais de sortie.

Tous ces coûts doivent être analysés pour évaluer leur impact sur vos rendements.

La durée d’investissement requise

Les OPCVM sont des placements à envisager sur le moyen ou le long terme, en raison des risques de volatilité et de l’importance de compenser les frais associés. Cette durée recommandée permet de :

  • Lisser les variations des marchés : Les marchés financiers peuvent connaître des cycles de hausse et de baisse. Investir sur plusieurs années permet généralement, mais sans certitude toutefois de lisser ces fluctuations.
  • Compenser les frais sur le long terme : En investissant sur une période prolongée, les épargnants peuvent espérer compenser les frais initiaux et récurrents grâce aux rendements cumulés, bien que cela ne soit jamais garanti.

La compréhension des supports sélectionnés

Investir dans des OPCVM demande une certaine connaissance des produits financiers et une analyse approfondie des supports proposés dans le contrat d’assurance vie. En ce sens, le Document d’Information Clé pour l’Investisseur (DICI) est très important. Réglementaire, il est exigé par l’AMF et résume les caractéristiques principales d’un OPCVM, notamment sa stratégie, ses frais, et ses risques. Il est essentiel de le lire attentivement avant tout investissement.

Sachez qu’il est aussi très important de choisir des supports alignés avec votre tolérance au risque et vos objectifs. Les profils prudents privilégieront des fonds moins volatils, tandis que les profils dynamiques s’orienteront davantage vers des OPCVM plus fluctuants et risqués, mais au potentiel de rendement plus élevé.

Pour bien comprendre et bien choisir vos OPCVM, l’aide d’un professionnel est vivement recommandée.

Attention à la concentration des risques

Un manque de diversification peut amplifier les risques associés à un investissement en OPCVM via une assurance vie. Autrement dit, le fait de se focaliser sur un seul OPCVM ou une catégorie d’actifs seulement (par exemple, uniquement des actions ou des obligations) peut accroître la sensibilité de votre portefeuille aux fluctuations d’un secteur ou d’un marché spécifique.

Une répartition judicieuse entre différents types de supports (fonds euros, OPCVM, SCPI, ETF…) et classes d’actifs est essentielle pour équilibrer les risques et les rendements.

 

Comment choisir des OPCVM pour son assurance vie ?

Définir son profil d’investisseur

Le choix des OPCVM dans un contrat d’assurance vie doit avant tout correspondre à votre profil d’investisseur et à vos objectifs de placement.

De même, un horizon de placement clair est également essentiel. Les OPCVM conviennent aux projets à moyen ou long terme uniquement.

Analyser les performances des OPCVM

Avant d’intégrer un OPCVM à votre contrat d’assurance vie, il est recommandé d’évaluer :

  • Leur performance passée : Bien qu’elle ne garantisse pas les rendements futurs, la performance historique d’un OPCVM peut fournir une indication sur la solidité de sa gestion.
  • Leur volatilité : Un OPCVM affichant des performances très fluctuantes pourra être plus risqué.
  • Leur stratégie de gestion : Chaque OPCVM suit une stratégie spécifique (croissance, revenu, diversification). Comprendre cette stratégie et les actifs qui en découlent (actions, obligations, titres immobiliers, etc.) est essentiel pour s’assurer qu’ils correspondent à vos attentes.

Évaluer les frais associés aux OPCVM

Les frais peuvent avoir un impact significatif sur la rentabilité de vos investissements dans des OPCVM via une assurance vie. Il est donc indispensable de les analyser en détail, qu’il s’agisse des :

  • Frais de gestion des OPCVM : Ces frais, directement prélevés sur les actifs du fonds, rémunèrent la société de gestion.
  • Frais d’entrée ou de sortie : Certains OPCVM appliquent des frais lors de l’achat ou de la vente de parts.
  • Frais propres au contrat d’assurance vie : Les frais de gestion annuels et les frais sur versements peuvent également réduire les performances globales du contrat.

Privilégier une diversification optimale

La diversification est un principe clé pour limiter les risques tout en maximisant le potentiel de rendement d’une assurance vie.

  • Diversification entre classes d’actifs : Une répartition équilibrée entre OPCVM actions, obligations, ETF ou autres vous permettra de capter les opportunités de différents marchés financiers tout en limitant les pertes potentielles.
  • Diversification géographique : Les OPCVM internationaux offrent une exposition aux marchés émergents ou étrangers, de sorte de ne pas vous limiter au marché français.
  • Diversification sectorielle : En investissant dans des OPCVM spécialisés dans des secteurs variés (technologie, santé, immobilier, énergie…), vous répartissez également les risques liés aux performances économiques de chaque secteur.

Consulter le DICI et les documents fournis par l’assureur

Le Document d’Information Clé pour l’Investisseur (DICI) est une ressource indispensable pour bien choisir vos OPCVM. Il fournit des informations détaillées sur :

  • La stratégie d’investissement du fonds.
  • Les actifs sous-jacents (actions, obligations, titres immobiliers, etc.).
  • Les frais, la volatilité et le niveau de risque.

De plus, les contrats d’assurance vie incluent souvent une liste des OPCVM disponibles, avec leurs caractéristiques principales. Prenez le temps de consulter ces documents pour choisir les supports adaptés à votre stratégie.

Se faire accompagner par un professionnel

Pour optimiser vos placements, n’hésitez pas à solliciter l’aide d’un professionnel tel qu’un conseiller en gestion de patrimoine. Il pourra :

  • Vous aider à définir votre profil d’investisseur.
  • Vous orienter vers des OPCVM adaptés à vos besoins.
  • Vous accompagner dans l’analyse des performances et des frais de votre contrat.

 

Les erreurs à éviter

Investir dans des OPCVM via une assurance vie offre de nombreuses opportunités. Toutefois, certaines erreurs peuvent nuire aux performances de vos placements :

  • Investir sans bien connaître son contrat d’assurance vie.
  • Ignorer les frais associés (frais sur versement, frais de gestion, frais d’arbitrage).
  • Ne pas anticiper que les unités de compte exposent à une perte en capital.
  • Sous-estimer l’impact fiscal des rachats selon la durée de détention.
  • Opter pour une concentration excessive sur un seul type d’OPCVM ou une seule classe d’actifs et ne pas suffisamment diversifier.
  • Réaliser des arbitrages intempestifs : ils entraînent des frais et peuvent donc réduire les rendements à long terme de votre assurance vie s’ils sont trop fréquents.
  • Investir avec une vision court terme, contraire à la nature des OPCVM.
  • Ne pas lire les documents d’information des OPCVM.
  • Sous-estimer l’importance du profil d’investisseur (c’est-à-dire, faire des choix trop risqués pour un profil prudent ou, à contrario, une allocation trop sécuritaire pour un profil dynamique).
  • Manquer d’adéquation avec son horizon de placement.

Pour éviter ces écueils, l’accompagnement pas un professionnel est fortement recommandé. Prenez le temps de bien vous renseigner en amont et de vous former.

Investir dans des OPCVM via une assurance vie est une stratégie qui permet de diversifier ses placements, d’optimiser sa fiscalité et de dynamiser son épargne à long terme. Toutefois, pour maximiser les rendements obtenus tout en maîtrisant les risques, il est essentiel de bien comprendre les supports sélectionnés, d’adopter une diversification équilibrée et de s’adapter à son profil d’investisseur et à son horizon de placement.

 

FAQ

Qu’est-ce qu’un OPCVM et pourquoi est-il intéressant dans une assurance vie ?

Un OPCVM (Organisme de Placement Collectif en Valeurs Mobilières) est un véhicule d’investissement collectif qui permet de diversifier son épargne en investissant dans différents actifs (actions, obligations, etc.). Dans une assurance vie, les OPCVM offrent une alternative dynamique aux fonds euros, avec un potentiel de rendement plus élevé, bien que soumis à des risques de perte en capital.

Quelles sont les particularités fiscales d’un investissement en OPCVM via une assurance vie ?

L’assurance vie permet de bénéficier d’une fiscalité spécifique, notamment après 8 ans, avec des abattements annuels sur les gains lors des rachats. De plus, les arbitrages entre OPCVM au sein du contrat ne génèrent pas de fiscalité immédiate. Enfin, en cas de décès, les capitaux transmis bénéficient d’abattements spécifiques.

Quels sont les risques associés aux OPCVM dans une assurance vie ?

Les OPCVM sont soumis aux fluctuations des marchés financiers, ce qui peut entraîner des pertes en capital. Ces supports ne garantissent pas un rendement minimal, contrairement aux fonds euros. De plus, ils impliquent des frais de gestion plus élevés et nécessitent une vision à long terme pour tenter de lisser les variations de marché et d’amortir leurs frais.

Comment choisir un OPCVM pour mon contrat d’assurance vie ?

Pour sélectionner un OPCVM, il est essentiel de :

  • Définir votre profil d’investisseur (prudent, équilibré ou dynamique).
  • Vérifier les performances passées tout en gardant à l’esprit qu’elles ne garantissent pas les résultats futurs.
  • Consulter les frais d’entrée, de gestion et d’arbitrage.
  • Diversifier vos investissements en choisissant plusieurs OPCVM dans différents secteurs, classes d’actifs et régions.
  • Se faire aider d’un professionnel.

Quelle est la durée d’investissement idéale pour des OPCVM dans une assurance vie ?

Les OPCVM sont particulièrement adaptés à un horizon d’investissement à moyen ou long terme, idéalement supérieur à 5 ans.

Les OPCVM sont-ils adaptés à tous les profils d’investisseurs ?

Pas nécessairement. Les OPCVM conviennent surtout aux investisseurs prêts à accepter une part de risque pour viser un rendement supérieur.

Que se passe-t-il en cas de décès pour des OPCVM détenus dans une assurance vie ?

En cas de décès, le capital investi dans les OPCVM est transmis aux bénéficiaires désignés dans la clause bénéficiaire. Les capitaux bénéficient d’une fiscalité spécifique, avec des abattements, ce qui fait de l’assurance vie un outil intéressant pour la transmission de patrimoine.

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